hypersensible empathe introvertie
Une extra-terrestre dans un "monde de brutes"
Besoin de plaire, de faire plaisir, d’être aimée, appréciée.
J’ai compris / cru depuis toute jeune que qui j’étais « au naturel » n’était pas bien / pas suffisant. J’ai donc besoin de comprendre ce que les autres attendent de moi afin de m’y conformer au mieux.
Persuadée que qui je suis n’est jamais bon, je n’ai eu de cesse de devenir d’autres (supposées meilleures) versions de moi – la fille dont rêvait mon père, l’épouse dont rêvait mon mari, la mère dont je pensais que les enfants avaient besoin + celle que mon mari voulait que je sois + celle que mon père trouvait que j’aurais dû être + celle que ma belle-famille trouvait que je devrais être. Vous voyez le topo.
Pourtant, plus je pensais ressembler à ce qu’ils voulaient que je sois, moins ils semblaient m’apprécier. Je ne comprenais pas.
Aujourd’hui je m’efforce de ressembler le plus possible à mon vrai « moi ». D’être la plus authentique possible. Et tant pis pour ceux à qui ça ne plaît pas. Parce que même si cela ne devait plaire à personne, je suis bien seule et je suis satisfaite de qui je suis, même si je suis très consciente de mes défauts. Mais qui pourrait se vanter d’être sans défaut ?
Sous cette étiquette, vous trouverez des articles qui parlent de mon besoin de plaire, des rôles que j’ai cru qu’il me fallait jouer.
Cet article explique une partie de mes différences qui contribuent à mon sentiment d’être une extra-terrestre, comme ma vision optimiste du monde, ma peur des conflits, mon questionnement constant (et mon cerveau qui travaille 24/7) ou encore mon besoin de contact physique. Je parle aussi de l’hyperconformisme que cela a provoqué chez moi et de ma recherche à propos de qui je suis. J’évoque aussi mon besoin de solitude.
Retrouvez aujourd’hui les raisons qui m’ont poussée à changer le style de mes publications.
Bienvenue dans ma tête et ma vie de perfectionniste désordonnée. Perfectionnisme ou hypersensibilité, qui était là d’abord ? Je parle aussi de mon sens du détail et de mon besoin de conrôle. Et du fait que, dans ma vie, c’est le bordel (au sens physique). Et pourquoi je pense que j’ai besoin de ce bordel, de cette accumulation d’objets qui m’entourent.
Le mal que je vous fais, l’un de mes paradoxes. Quelques exemples pratiques et leurs causes (ma franchise, un malentendu, la sensibilité de l’interlocuteur). Quels sont mes besoins quand je communique ? Confirmer que j’ai compris, classer, anticiper, plaire.
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