Sujets potentiels

Vous trouverez ci-dessous la liste des sujets qui sont en préparation ou auxquels j’ai pensé mais que je n’ai pas encore développés. L’ordre est aléatoire (je rajoute un sujet quand il m’en vient l’idée) mais les sujets sont regroupés en « dans ma tête » et « dans ma vie ». Les articles seront publiés selon mon inspiration ou selon les demandes.

N’hésitez pas à mettre un commentaire ou à m’envoyer un message pour indiquer vos préférences ou me donner d’autres idées.

Dans ma tête

Moi et l’intelligence et la créativité

Haut potentiel, HP, HPI, zèbre, atypique, neuro-atypique, cerveau droit dominant. Un peu tout ça et pourtant j’ai tellement de mal à me reconnaître dans ces mots même si les descriptions semblent me correspondre. Je ne me sens plus plus intelligente que d’autres parce que je ne me compare qu’à meilleur que moi. Je ne me pense pas créative parce que j’admire tous ceux que je trouve beaucoup plus créatifs.

Moi et… le reste du monde

Je me suis toujours sentie différente, unique (mais pas dans le bon sens du terme), inadaptée. Il y avait tous les autres, qui semblaient se ressembler et se comprendre.. et puis moi.

Moi et la beauté du monde qui nous entoure

J’admire « tout et n’importe quoi », du spectacle naturel le plus grandiose (genre le Grand Canyon) au plus simple (le travail d’une fourmi)

Moi et mon âme d’enfant

Je dois réfléchir à l’âge que j’ai, dans ma tête je n’ai pas cet âge-là

Esprit « gamin » par moments (faire 2 fois le tour d’un rond-point pour faire rire les enfants… qui ont 19 et 20 ans !) 

J’aime les dessins animés, les belles histoires qui finissent bien, les choses simples

Moi et… moi et… moi

(non, pas avec « 700 millions de chinois »)

Différentes « personnalités » au cours de ma vie / dans les sphères de ma vie (famille, amis, travail)

Moi et les choix

Dure des heures (j’exagère à peine)… pour tout

Moi et tout ce que j’aimerais faire ou voir

Beaucoup trop pour une vie

Moi et mes intérêts « intellectuels »

Tout les sujets sauf le sport et la politique

Moi et mes goûts

Goûts simples

Moi et la motivation

Je n’ai (quasi) pas de motivation intérieure / personnelle. J’ai besoin des autres pour faire ce que je n’aime pas / ce que je n’ai pas envie de faire.

Moi et la franchise

A ceux qui me sont proches je dis ce que je pense. Si je n’aime pas qqch, je vais le dire. Ce n’est pas une critique, je n’ai juste pas les mêmes goûts que vous.

Moi et mon style de pensée

Non linéaire, du coup je déteste les dissertations où il faut un début / introduction, un milieu / développement, et une fin / conclusion / opinion personnelle. J’aime passer du coq à l’âne (ou de la poule au pot, euh, de la poule au boeuf, ou à la grenouille si c’est celle de Lafontaine). Bref, j’aime les feux d’artifice. Comment ça, ça n’a rien à voir ? Mais si, ça part dans tous les sens, comme mon esprit.

Moi et les voix dans ma tête / mon ego / mon juge ou saboteur intérieur – faible estime de soi

Les voix dans ma tête jugent quasi toujours. Cela peut être en répètant un jugement que j’ai entendu, par exemple par mon père, ou donnent un jugement avec la voix d’une personne, jugement qui correspond à ce qu’elle penserait de la situation.

Faible estime de moi à cause de ce jugement permanent par les voix intérieures.

J’expliquerai aussi comment je vais mieux aujourd’hui et comment je les gère.

Moi et mon cerveau qui fonctionne 24/7

Je n’ai jamais trouvé le bouton pause, encore moins un bouton stop.

J’ai longtemps voulu arrêter de penser parce que cela m’épuisait. Aujourd’hui je gère plutôt que je ne bloque.

Moi et le jugement des autres – faible estime de soi

Ce jugement peut être réel mais aussi imaginé (on n’est pas dans la tête de l’autre, on ne sait pas vraiment ce qu’il pense). Il y a une citation avec des énoncés légèrement différents et attribuée à différenes personnes qui dit qu’on s’inquiéterait beaucoup moins de ce que pensent les autres si on savait comme ils pensent peu.

Moi et le besoin de plaire aux autres (people pleaser)

Le risque d’un besoin excessif de plaire aux autres est de s’oublier

François de La Rochefoucauld « Nous sommes si accoutumés à nous déguiser aux autres qu’enfin nous nous déguisons à nous-mêmes”

Cela a longtemps été ma nature profonde, aujourd’hui je suis en sursis. Il y a bien une rechute de temps en temps mais elles sont de moins en moins fréquentes. Il faut trouver l’équilibre entre un égoïsme crasse et être la carpette sur laquelle tout le monde marche.

Moi et toutes les femmes que j’aurais voulu être

Influencée par société et lectures, j’ai rêvé d’être de nombreuses femmes qui ne correspondaient pas à qui je suis / à mes valeurs et/ou à ma manière de fonctionner. Entre autres : mère idéale (genre qui cuisine tout maison avec des produits bios et achetés localement, qui organise des fêtes anniversaire pour les enfants en invitant 15 copains à la maison et en cuisinant les gâteaux, qui faisait plein de bricolages avec les enfants), fille idéale (aimante et démonstrative, qui rend visite régulièrement à ses parents et s’occupe d’eux), femme et amante idéale (épouse attentionnée, amante même en étant jeune mère), etc

Chaque fois que je n’y arrivais pas (càd quasi tout le temps), je perdais un peu de confiance en moi, je me sentais un peu plus minable, inadéquate

Moi et la spiritualité

Dieu (le « mien », pas celui d’une religion), l’Univers, les anges gardiens

Moi et les grandes causes

J’admire les activistes, je comprends les causes pour lesquelles certains se battent. Malheureusement, je comprends toutes les causes, et je suis consciente d’une grande quantité de causes différentes qui me semblent toutes aussi valables les unes que les autres. Et je ne fais rien parce que je ne sais pas choisir.

Je ne serai jamais une activiste mais je les admire et ces dernières années j’ai choisi quelques causes qui me tiennent à cœur, et que je soutiens (financièrement, parce que d’autres sont beaucoup plus doués que moi pour l’action de terrain).

Moi et l’humour

L’humour a toujours eu une très grande place dans ma vie. Il a très probablement contribué au fait que je sois toujours de ce monde.

Moi et le syndrome de l’imposteur

Sentiment de ne pas être qui les autres croient que je suis mais surtout crainte démesurée que tous ceux qui me fréquentent me quitteraient s’ils me connaissaient vraiment, s’ils savaient qui je suis au fond de moi, là où je n’ai laissé entrer personne.

Moi et les (nouvelles) relations

Il m’est extrêmement difficile de commencer une relation, qu’elle soit amicale ou amoureuse. Les autres me décevant très rapidement (puisque personne n’est vraiment comme moi, il n’y a quasi aucune chance pour qu’ils comprennent qui je suis et comment je fonctionne), je me demande comment j’ai réussi à me faire des ami(e)s ou à rencontrer mon ex-mari qui a partagé ma vie durant plus de 20 ans.

J’ai l’impression que la majorité des relations dans ma vie ont été basées sur un malentendu, que les autres me fréquent(ai)ent parce qu’ils ne sav(ai)ent pas vraiment qui je suis (voir syndrome de l’imposteur)

Dans ma vie

Moi et l’amour inconditionnel

Comment mon amour inconditionnel pour mes proches se traduit-il dans la vie de tous les jours ?

Moi et les discours motivants

J’ai mis des années à comprendre pourquoi la majorité des discours motivants ne me motivent… absolument pas !

Moi et la violence / les conflits

Plus les années passent, moins je supporte de voir / entendre la violence (attentats, guerre, combats – même dans les films où je sais que « c’est pour du faux ») et les conflits me mettent extrêmement mal à l’aise.

Moi et le rêve américain / la vie idéale qu’on nous vend

Le job idéal qui paie bien, le mari « parfait », la famille parfaite, la maison parfaite, les vacances idéales / le métro-boulot-dodo amélioré. J’avais tout et je n’étais pas heureuse.

Moi et l’eau

Douches, bains, mer = je me ressource. J’aime l’eau sous toutes ces formes mais… chaude, l’eau. Je ne suis pas du genre à aller me baigner dans une eau à 15°C.

Moi et l’ordre (enfin, le désordre)

Bordélique (mais je sais – très souvent – où les choses se trouvent)

Moi et la paresse

Si vous parliez à mes ancien(ne)s collègues, ils ne comprendraient probablement pas comment je peux dire que je suis paresseuse parce que ce n’est pas du tout la perception qu’ils avaient de moi au travail.

Moi et la lecture

Deux grands buts à la lecture dans ma vie : l’évasion (j’aime tous les types de fiction et j’ai dévoré de très nombreux livres) et la compréhension, des autres et de moi-même

Moi et les livres

Je les considérais comme des « reliques » à chérir, jusqu’au jour où j’ai décidé de me séparer de la quasi-totalité de mes livres physiques et de passer principalement aux livres numériques

Moi et bouger (sport, entre autres)

J’en comprends l’intérêt / la nécessité mais à part la marche il n’y a pas vraiment de sport que me motive. Ermite est un « métier » qui me conviendrait bien : assise toute la journée sans rien faire d’autre que penser / méditer / rêver, boire et ne quasi rien manger.

Moi et les soirées / les boums

Oui, je sais, ce n’est plus nécessairement de mon âge mais c’est plutôt comment j’ai vécu les soirées quand j’étais jeune adulte à l’université

Moi et l’inconfort physique

Tout inconfort, si petit soit-il, devient pour moi très rapidement une torture mentale. On m’a souvent traitée de petite nature

Moi et les conférences

Difficulté d’interagir avec les autres participants, même quand nous avons au moins un point commun : l’intérêt pour le sujet de la conférence

Moi et les films et les vidéos

Pas le peine de regarder l’écran, regardez juste ma tête et vous saurez ce qu’éprouvent les personnages à l’écran : joie, tristesse, colère, souffrance

Moi et les repas en plein air

Ah… le plaisir de manger dehors, à l’air libre, voir la nature, écouter le chant des oiseaux. Euh… non, pas pour moi, merci. Pour moi c’est : il fait trop chaud / trop froid, les sièges ne sont pas confortables, il y a des insectes (autour de moi ou autour de la nourriture), on entend les avions / les voisins / les voitures. Et ne parlons même pas du pique-nique, assise par terre dans l’herbe sur une couverture qui gratte, sans dossier et donc avec le dos en miette, la douleur des ischions (les os des fesses sur lesquels repose tout mon poids).

Moi et la nourriture

J’adore (bien) manger mais je suis extrêmement difficile. Il m’est quasi impossible de me forcer à manger ce que je n’aime vraiment pas, au risque de vomir.

Moi et la peur d’avoir mal, moi et la douleur

Cette peur m’empêche de faire de nombreuses choses (ou si je les fais, d’en profiter pleinement) mais, paradoxalement, j’ai une assez bonne tolérance à la douleur. Si j’ai mal au ventre et que nous sommes ensemble, vous n’en saurez probablement rien. Mais dès que je serai seule / rentrée chez moi, il est probable que vous me trouviez roulée en boule au fond de mon lit, tordue de douleur.

Moi et les soirées entre amis

Mon vécu sera totalement différent selon les cas : quelques amis proches ou un grand groupe d’amis / copains, lieu de rencontre connu ou inconnu, ambiance au moment où j’arrive, etc

Moi et mes hobbys

Quand je commence un hobby, je m’y lance à fond. J’apprends un max, j’achète tout le matériel (de qualité) et je fonce… durant quelques semaines, quelques mois, parfois quelques années. Mais j’abandonne un jour et je me retrouve à accumuler un tas de choses que je garde « pour le jour où je m’y remettrai ».

Moi et les paysages

Dans la nature et les paysages, j’aime tout. J’aime toutes les saisons, chacune pour ce qu’elle apporte. J’aime la mer et la montagne, la ville et campagne, l’hiver et l’été, etc. Avec une petite préférence pour la mer à la campagne au printemps. Si je devais donner une raison à ces choix : la douceur, la subtilité, les demi-teintes – la mer est (comparée à la montagne) relativement plate, la campagne aussi (avec des collines souvent arrondies, par opposition aux bâtiments de formes rectangulaires ou carrées et parfois de dimensions imposantes) et il fait souvent doux au printemps, avec parfois des journées froides comme en hiver ou chaudes comme en été, donc un équilibre entre les deux.

Moi et les concerts

Consciente de tout autour de moi. Difficulté avec fortes lumières et bruit (bouchons d’oreilles)

Moi et mes enfants malades

Je suis l’opposé d’une mère poule, je ne supporte pas de m’occuper de mes enfants malades ou de leurs blessures

Moi et l’argent

Ce n’est pas un sujet auquel j’aurais pensé spontanément mais ces dernières années une amie m’a fait plusieurs remarques sur ce qu’elle imaginait être mon rapport à l’argent. J’y attache peu d’importance mais il est vrai que je n’ai jamais manqué de rien. Quand j’y réfléchis un peu, c’est potentiellement un sujet très vaste.

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